![images-16.jpg](https://mlsr0cr8ad5y.i.optimole.com/cb:xSZp.67169/w:140/h:64/q:mauto/f:best/https://editionsfario.fr/wp-content/uploads/2017/01/images-16.jpg)
Eugène Atget (1857 – 1927) n’a laissé aucun écrit. Seule la lettre du 12 novembre 1920 envoyée au directeur des Beaux-Arts Paul Léon témoigne de son inquiétude sur l’avenir de sa « belle collection de clichés » du vieux Paris.
![l_oeil_-_les_sileces_d_atget.png](https://mlsr0cr8ad5y.i.optimole.com/cb:xSZp.67169/w:440/h:622/q:eco/f:best/https://editionsfario.fr/wp-content/uploads/2017/01/l_oeil_-_les_sileces_d_atget.png)
Eugène Atget (1857 – 1927) n’a laissé aucun écrit. Seule la lettre du 12 novembre 1920 envoyée au directeur des Beaux-Arts Paul Léon témoigne de son inquiétude sur l’avenir de sa « belle collection de clichés » du vieux Paris.
C’est une femme, elle-même photographe, Bérenice Abott, qui aura eu l’intuition de sauvegarder le travail, à la fin colossal, d’un homme que ses contemporains goûtaient peu.