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L’Obsolescence de l’homme, tome II
De l’aveu même d’Anders, la part de son œuvre qu’il considérait comme la plus importante est ce qu’il a appelé son « anthropologie philosophique à l’époque de la technocratie ». Il l’a rassemblée dans les deux tomes de L’obsolescence de l’homme (un troisième tome en préparation n’a jamais vu le jour). La traduction en français du premier tome date de 2002 (Ivréa et L’encyclopédie des nuisances). Celle de ce second tome, publié par l’auteur en 1980, est donc également bien tardive. La dégradation ou la destruction de la vie, humaine et non humaine, et les formes insidieuses de la domination de masse n’ont en