Je voudrais ce matin gris saluer Gustave Roud, le marcheur suisse, ami de Jacottet, mais aussi James Sacré pour sa belle postface, et enfin la revue Fario qui fait encore une fois un beau travail de passeur. La Suisse comme un espace dilaté où les hommes passent et repassent sans cesser d’écrire quelque chose qui ne s’interrompt pas, étrangement.
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